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Pension alimentaire
Avocat en droit de la famille à Paris, dans les Hauts-de-Seine (92) et en France, j’accompagne les dirigeants et les particuliers dans les moments clés de leur vie familiale, en conciliant enjeux personnels et patrimoniaux.
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Un accompagnement juridique pour sécuriser les droits de votre enfant
La question de la pension alimentaire occupe une place centrale dans les séparations ou les divorces dès lors que des enfants sont concernés. Fixée au titre de la contribution à l’entretien et à l’éducation des enfants, elle constitue une obligation légale dont la portée s’inscrit à la fois dans la durée et dans la réalité économique des deux parents. Que vous soyez en instance de divorce ou déjà divorcé, il est essentiel de comprendre les mécanismes qui encadrent la pension alimentaire. Cette compréhension permet de garantir la préservation des intérêts de votre enfant tout en tenant compte de vos capacités financières. Cela concerne aussi bien les parents créanciers que les parents débiteurs.
En tant qu’avocat spécialiste en droit des sociétés intervenant également en droit de la famille dans un contexte patrimonial, j’interviens dans les Hauts-de-Seine (92). J’interviens aussi à Paris et dans toute la France. Mon approche repose sur une vision globale qui intègre les enjeux économiques, fiscaux et humains liés à votre situation. Que le dossier soit amiable ou contentieux, qu’il concerne la fixation initiale, une demande de révision ou des impayés, chaque étape mérite une attention particulière. J’assure une analyse rigoureuse et un accompagnement stratégique pour sécuriser votre position et garantir la pérennité des engagements pris.
Mon approche se caractérise par une compréhension fine des situations financières complexes, particulièrement adaptée aux profils de dirigeants d’entreprise, d’indépendants, ou de parents disposant de revenus variables ou de patrimoines diversifiés. Cette expertise spécifique permet d’établir avec précision la réalité des ressources disponibles et des charges effectives, au-delà des apparences comptables ou des fluctuations ponctuelles de revenus.
Fixation de la pension alimentaire : enjeux et critères d'évaluation
La pension alimentaire ne résulte pas d’une règle automatique ou d’un calcul mathématique immuable, mais d’un équilibre subtil entre les besoins réels et évolutifs de l’enfant et les capacités contributives de chaque parent. Elle est fixée en fonction d’un faisceau d’éléments qui doivent être soigneusement documentés et argumentés pour aboutir à une solution juste et pérenne.
Parmi les critères déterminants, les ressources et charges de chaque parent occupent une place prépondérante. Les revenus professionnels (salaires, bénéfices, dividendes…), les revenus patrimoniaux (loyers, placements…), les prestations sociales et les avantages en nature sont tous pris en compte, de même que les charges incompressibles : logement, crédits en cours, autres pensions versées, frais professionnels spécifiques, ou encore problèmes de santé générant des dépenses régulières.
Le mode de résidence de l’enfant influe également fortement sur le montant de la pension. Une résidence alternée équilibrée peut conduire à une absence de pension si les parents ont des revenus similaires, ou à une pension réduite si leurs situations financières sont déséquilibrées. À l’inverse, une résidence principale chez un parent avec un droit de visite classique pour l’autre justifie généralement une contribution plus substantielle. La fréquence et l’étendue du droit de visite et d’hébergement sont ainsi des éléments modulateurs importants, puisqu’ils déterminent la répartition concrète des frais quotidiens liés à l’enfant.
Les dépenses spécifiques liées à la scolarité (frais d’inscription, fournitures, cantine, études supérieures…) doivent être intégrées dans le calcul. Les dépenses liées à la santé (soins non remboursés, équipements médicaux, suivi psychologique…) doivent également être prises en compte. Il faut aussi considérer les activités extrascolaires (sport, art, loisirs…) dans ce calcul. Les besoins particuliers de l’enfant (handicap, haut potentiel, troubles de l’apprentissage…) représentent une autre catégorie de dépenses à intégrer. Ces différentes dépenses peuvent être incluses soit dans le montant de base de la pension, soit comme frais exceptionnels à partager selon une clé de répartition préétablie.
La loi exige que chaque parent participe à proportion de ses moyens à l’entretien et à l’éducation des enfants, sans que la résidence alternée exclue systématiquement toute contribution financière. Ce principe fondamental de proportionnalité, inscrit dans le Code civil, guide l’approche des juges aux affaires familiales et constitue le socle de mon analyse de votre situation.
Dans un contexte amiable, les parents peuvent convenir d’un montant adapté et le faire homologuer dans une convention parentale ou un acte d’avocat en cas de divorce par consentement mutuel. Cette démarche volontaire offre l’avantage de la flexibilité et de l’adhésion des deux parties, gage d’exécution sereine dans la durée. En cas de désaccord, seul le juge aux affaires familiales peut trancher, après une analyse détaillée des arguments et justificatifs produits par chaque parent.
Mon accompagnement permet de documenter précisément la situation financière de chaque partie, de construire une argumentation fondée sur des éléments objectifs et pertinents, et de sécuriser juridiquement l’accord ou la demande formulée. En pratique, si le montant de la pension peut s’appuyer sur un barème indicatif édité par le ministère de la Justice, je veille à ce que votre situation spécifique soit pleinement prise en compte. Au-delà de tout automatisme, le juge conserve un pouvoir souverain d’appréciation au cas par cas.
Révision, indexation et fin de la pension alimentaire : des évolutions à anticiper
La pension alimentaire n’est pas figée dans le temps, mais doit s’adapter aux évolutions de la vie familiale, professionnelle et personnelle des parents et de l’enfant. Elle peut être révisée à tout moment dès lors qu’un élément nouveau et significatif survient, modifiant l’équilibre économique initialement établi entre les parties.
Parmi les changements de circonstances susceptibles de justifier une révision, on trouve principalement :
Un changement de situation professionnelle (perte d’emploi, reconversion, promotion, création ou cession d’entreprise…)
Une augmentation ou diminution substantielle des revenus de l’un des parents
L’apparition de nouveaux frais importants liés à la scolarité ou aux soins de l’enfant
Un remaniement du mode de garde ou de l’organisation du temps parental
La recomposition familiale avec de nouvelles charges.
La demande de révision peut émaner du parent débiteur comme du parent créancier, selon que les changements plaident pour une diminution ou une augmentation de la pension. Dans tous les cas, cette démarche nécessite d’apporter des justificatifs précis et pertinents pour démontrer le caractère substantiel et durable du changement de circonstances invoqué. Une simple fluctuation temporaire ou mineure ne suffit généralement pas à justifier une modification du jugement ou de la convention initiale.
Par ailleurs, la pension alimentaire est indexée chaque année sur un indice de référence, généralement l’indice des prix à la consommation (IPC) publié par l’INSEE. Cette revalorisation légale, qui s’applique de plein droit même en l’absence de mention spécifique, évite que l’inflation ne vienne progressivement éroder la valeur réelle de la pension au fil du temps. Il est donc essentiel d’en vérifier la correcte application et, si besoin, de faire recalculer les montants dus, notamment en cas de retards ou d’omissions répétées qui peuvent générer des arriérés significatifs.
Un point souvent méconnu concerne la durée de la pension alimentaire, qui ne cesse pas automatiquement à la majorité de l’enfant.
Elle peut se poursuivre tant que celui-ci n’a pas acquis une autonomie financière suffisante, notamment s’il poursuit des études supérieures ou une formation professionnelle, ou s’il rencontre des difficultés d’insertion professionnelle indépendantes de sa volonté. Le juge peut alors ordonner que la pension soit versée directement entre les mains de l’enfant majeur, qui devient lui-même créancier de cette obligation.
Je vous accompagne dans l’anticipation de ces évolutions. Je vous conseille sur le moment opportun pour engager une demande de révision. Je prépare méticuleusement le dossier justificatif. Je vous représente devant le juge aux affaires familiales si un contentieux s’avère inévitable. Cette veille active sur votre situation permet d’éviter aussi bien le maintien d’une pension devenue inadaptée que l’accumulation d’arriérés préjudiciables à la stabilité financière des familles.
Les procédures en cas d'impayé ou de conflit lié à la pension alimentaire
Lorsqu’un parent ne s’acquitte pas de la pension alimentaire malgré l’existence d’un titre exécutoire (jugement ou convention homologuée), plusieurs mécanismes juridiques et administratifs sont prévus pour en garantir le recouvrement et préserver ainsi les intérêts de l’enfant.
Depuis janvier 2021, l’intermédiation financière mise en place par l’Agence de recouvrement et d’intermédiation des pensions alimentaires (ARIPA) constitue une avancée majeure dans la sécurisation des versements. Ce dispositif, qui peut être demandé par l’un des parents ou ordonné par le juge, confie à la CAF ou à la MSA le rôle d’intermédiaire entre les deux parents : l’organisme prélève la pension auprès du parent débiteur et la reverse au parent créancier, évitant ainsi les contacts directs souvent sources de tensions et les risques de paiements irréguliers ou partiels.
En cas de défaillance du débiteur malgré ce dispositif, l’ARIPA peut avancer les sommes dues sous forme d’allocation de soutien familial (ASF). Cette avance est limitée à un montant fixé par la loi. L’ARIPA peut ensuite engager elle-même des procédures de recouvrement contre le parent débiteur. Cette garantie publique offre une sécurité financière précieuse pour le parent qui a la charge quotidienne de l’enfant et qui pourrait se trouver en difficulté en cas d’impayés prolongés.
D’autres voies de recouvrement peuvent être mobilisées, en complément ou en alternative à l’intermédiation, selon la nature du litige et l’urgence de la situation :
- Le paiement direct, procédure simplifiée permettant à un huissier/commissaire de justice de prélever directement la pension due auprès de l’employeur, de la banque ou de tout tiers détenant des sommes pour le compte du débiteur
- La saisie sur compte bancaire ou sur salaire, plus contraignante, mais efficace pour les débiteurs récalcitrants
- La saisie-vente de biens mobiliers ou la saisie immobilière dans les cas les plus graves
- Le recouvrement par le biais du Procureur de la République, qui peut ordonner des investigations et mobiliser les services fiscaux et sociaux
Au-delà de ces procédures civiles, le non-paiement volontaire et répété de la pension alimentaire peut constituer un délit d’abandon de famille, puni de peines pouvant aller jusqu’à deux ans d’emprisonnement et 15 000 euros d’amende. Cette dimension pénale, bien que rarement utilisée en première intention, constitue un levier dissuasif important face aux débiteurs de mauvaise foi.
Dans ces situations complexes et souvent tendues, mon assistance vous permet d’enclencher les démarches les plus efficaces et adaptées à votre cas spécifique. Je vous aide à obtenir une exécution rapide et respectueuse de vos droits. Mon objectif est de préserver autant que possible l’équilibre psychologique de l’enfant. Celui-ci ne doit pas devenir l’otage d’un conflit financier entre ses parents.
Pension alimentaire et fiscalité : une dimension stratégique à ne pas négliger
La pension alimentaire comporte des implications fiscales significatives qui doivent être correctement anticipées et intégrées dans la stratégie globale de séparation, tant pour le parent qui la verse que pour celui qui la perçoit.
Le parent qui verse la pension alimentaire peut, sous certaines conditions, en déduire le montant de ses revenus imposables. Cette déduction n’est toutefois possible que si l’enfant concerné n’est plus rattaché à son foyer fiscal, condition qui nécessite souvent une réflexion et une organisation spécifiques, particulièrement pour les parents exerçant une garde alternée. Il convient également de conserver tous les justificatifs de paiement, car l’administration fiscale peut exiger la preuve de l’effectivité des versements en cas de contrôle.
À l’inverse, le parent qui perçoit la pension doit la déclarer comme un revenu imposable. Cela peut influencer non seulement son imposition directe. De plus, par effet domino, cette déclaration peut affecter son éligibilité à certaines aides sociales ou prestations familiales. Ces dernières sont calculées sur la base du revenu fiscal de référence. Cette incidence doit être mesurée précisément pour éviter les mauvaises surprises au moment de la déclaration fiscale.
En cas de résidence alternée, la situation fiscale présente des particularités importantes : aucune déduction fiscale n’est généralement possible pour une éventuelle pension versée, car chacun des parents bénéficie déjà d’une majoration de parts fiscales liée à la garde partagée de l’enfant. Le partage de l’avantage fiscal lié aux enfants (demi-part ou part entière selon les cas) peut d’ailleurs constituer un élément de négociation dans le cadre global du règlement de la séparation.
Ces subtilités fiscales doivent être soigneusement analysées et intégrées dans la réflexion sur le montant et les modalités de la pension alimentaire, pour éviter toute erreur de calcul, redressement fiscal ultérieur, ou déséquilibre économique non anticipé. Une approche générale, tenant compte à la fois du montant nominal de la pension et de ses incidences fiscales nettes, permet de dégager des solutions véritablement équitables et adaptées à la situation concrète des deux parents.
Dans certains cas spécifiques, notamment lorsque l’enfant est majeur et qu’il réside de manière autonome pour ses études ou son insertion professionnelle, le versement de la pension peut se faire directement entre ses mains. Ce changement de créancier doit faire l’objet d’un avenant à la convention initiale ou d’une décision judiciaire modificative pour être pleinement sécurisé, tant sur le plan juridique que fiscal.
En tant qu’avocat familier des problématiques patrimoniales complexes, j’analyse avec vous les options les plus avantageuses fiscalement, et m’assure que vos obligations sont respectées sans alourdir inutilement votre situation financière. Cette expertise spécifique est particulièrement précieuse pour les dirigeants d’entreprise, les professions libérales, ou les parents disposant de sources de revenus multiples ou internationales.
Pourquoi me faire confiance pour vos questions de pension alimentaire ?
Basée dans les Hauts-de-Seine (92), j’interviens à Paris et dans toute la France. Je suis avocat spécialisé dans le divorce du dirigeant avec une longue pratique de plus de 20 ans. J’interviens régulièrement dans des contextes de divorce ou de séparation impliquant des enjeux patrimoniaux complexes et financiers importants. Cela concerne notamment les situations où l’un des parents est dirigeant, entrepreneur, ou dispose d’un patrimoine immobilier ou professionnel significatif. Cette double compétence me permet d’aborder les questions de pension alimentaire avec une vision stratégique, en intégrant les incidences fiscales, patrimoniales et économiques des décisions à prendre.
Mon approche est personnalisée, fondée sur l’écoute attentive de vos préoccupations, l’analyse rigoureuse de votre situation financière réelle, et la recherche de solutions équilibrées, conformes à l’intérêt de l’enfant et à vos capacités contributives effectives. Je vous assiste aussi bien dans le cadre de procédures amiables que judiciaires, avec une attention particulière portée à la pérennité des accords conclus et à leur adaptation harmonieuse aux évolutions futures de votre situation familiale et professionnelle.
Chaque situation familiale étant unique, je prends le temps de vous accompagner pas à pas. Je vous offre disponibilité et exigence dans ce processus. Je veille à ce que les décisions prises sur la pension alimentaire s’inscrivent dans une stratégie globale cohérente. Cette approche intègre l’ensemble des dimensions de votre séparation : résidence des enfants, autorité parentale, liquidation du régime matrimonial et protection de vos actifs professionnels.
Contactez-moi pour vos questions de pension alimentaire
Basée dans les Hauts-de-Seine (92), intervenant à Paris et dans toute la France et intervenant également dans toute la France, je vous propose un appel découvert de 15 minutes gratuit. Cet échange nous permettra de faire le point sur votre situation, d’identifier les points sensibles, et de déterminer la stratégie la plus adaptée à vos intérêts et à ceux de votre enfant.
Que vous vous interrogiez sur le montant d’une pension alimentaire, sa révision, ou les moyens de la faire respecter, prenez rendez-vous en ligne dès maintenant. Vous bénéficierez d’un accompagnement rigoureux et humain. Notre approche est centrée sur la défense de vos droits et la préservation de l’équilibre familial.
Témoignages
Cabinet CANEVET Mariannick - Avocat & Médiateure, Spécialiste du Dirigeant d'Entreprise 13 avis Google Valentina Fayed2025-01-30Trustindex vérifie que la source originale de l'avis est Google. Maître Canevet a fait preuve de professionnalisme et compétence,qualité, écoute, humanité, transparence et réactivité. Elle étais toujours disponible pour répondre à mes questions et me soutenir !!! Un grand merci !!!!!! Cordialement Mme. Levkovic Valentina Laurence Diener2025-01-16Trustindex vérifie que la source originale de l'avis est Google. Nous remercions vivement Me Canevet pour ses conseils et ses explications claires qui ont permis la clôture d'un dossier compliqué lors d'une succession .Nous avons eu le plaisir et la chance de rencontrer Me Canevet , et sommes conscients du travail accompli. Bruno Pachiaudi2024-09-25Trustindex vérifie que la source originale de l'avis est Google. Malgré un dossier plus compliqué qu’attendu et des interlocuteur pas toujours facile à joindre et à convaincre, maitre Canevet n’a pas lâché la pression y compris pendant la pause estivale pour une résolution au plus vite et au mieux de nos intérêts. Elle nous a également proposé plusieurs solutions face a des difficultés juridiques rencontrées pendant l’evolution du dossier. Barbara Chapuis2024-07-24Trustindex vérifie que la source originale de l'avis est Google. Madame Canevet a répondu avec précisions à mes questions et m'a apporté un conseil judicieux et pertinent. MJ N2020-11-20Trustindex vérifie que la source originale de l'avis est Google. Avocate sérieuse, à l'écoute et réactive. J'ai recommandé à plusieurs reprises ce professionnel à mon réseau. Les retours sont toujours très positifs. Rémi Rondelet2019-02-05Trustindex vérifie que la source originale de l'avis est Google. Trouver un bon avocat des sociétés est difficile, mais avec une spécialisation en droit de la famille c'est encore plus dur. Depuis que j'ai eu la chance de travailler avec Maitre Canevet, je la recommande vivement et mes clients en sont toujours ravis. Disponible et spécialiste, elle fournit le juste conseil. Coté tarif, rien à redire! N'hésitez plus... Sébastien Bass2019-01-28Trustindex vérifie que la source originale de l'avis est Google. Mariannick est une experte dans les domaines du Droit des sociétés et du Droit de la famille. Très à l'écoute de ses clients, Mariannick n'a de cesse de rechercher le meilleur pour ses clients c'est à dire la réponse juste et adaptée aux besoins et contraintes exprimés. Je recommande Mariannick !