- Droit de la famille
- Droit Immobilier
- Droit des sociétés
- Création de sociétés
- Rédaction de pactes d’associés
- Contrats commerciaux
- Contentieux commercial
- Gestion des entreprises en difficulté
- Cessions, transmissions et restructurations d’entreprises
- Restructuration d’entreprises et procédures collectives
- Gestion des conflits entre associés
- Organisation de l’entreprise familiale
Liquidation des régimes matrimoniaux
Avocat en droit de la famille à Paris, dans les Hauts-de-Seine (92) et en France, j’accompagne les dirigeants et les particuliers dans les moments clés de leur vie familiale, en conciliant enjeux personnels et patrimoniaux.
Notée 4,9/5 sur Google
Un accompagnement expert pour cette étape patrimoniale décisive
En tant qu’avocat spécialiste en droit des sociétés basée dans les Hauts-de-Seine (92), j’interviens à Paris et dans toute la France. J’accompagne les particuliers, dirigeants d’entreprise, entrepreneurs, commerçants ou conjoints d’expatriés. Mon expertise s’adresse particulièrement aux personnes confrontées à la fin d’une union et aux conséquences patrimoniales qu’elle entraîne. J’assiste régulièrement des clients confrontés à des situations patrimoniales complexes, où se mêlent des biens immobiliers, des participations sociales, des actifs professionnels, des sociétés civiles ou commerciales, parfois détenues à l’international.
La liquidation du régime matrimonial est une étape cruciale, souvent méconnue, cependant incontournable pour permettre à chaque époux de récupérer ce qui lui revient de droit. Elle nécessite une reconstitution fidèle de la situation patrimoniale, une distinction rigoureuse entre les biens propres et les biens communs, et une évaluation complète des mouvements financiers intervenus entre les époux pendant l’union. Ces opérations, souvent techniques, peuvent rapidement devenir sources de tensions ou de désaccords si elles ne sont pas encadrées avec clarté, neutralité et rigueur. Mon rôle est d’apporter cette sécurité juridique, de prévenir les conflits et de vous défendre avec efficacité lorsqu’un litige est inévitable.
Les régimes matrimoniaux : cadre juridique et conséquences patrimoniales
Le régime matrimonial, qu’il ait été choisi par contrat ou qu’il s’applique par défaut, constitue la base juridique qui régit la vie financière et patrimoniale du couple. Il détermine la manière dont les biens sont acquis, détenus, gérés, et surtout partagés à la fin du mariage. Sa compréhension précise est indispensable pour anticiper les conséquences d’une séparation et organiser efficacement la liquidation.
En pratique, il existe principalement quatre régimes, chacun avec ses particularités et ses implications lors de la dissolution de l’union. Le régime de la communauté réduite aux acquêts est le plus courant, appliqué automatiquement en l’absence de contrat de mariage. Dans ce cadre, les biens acquis pendant le mariage sont réputés communs, tandis que ceux détenus avant l’union, ou reçus par héritage ou donation, demeurent des biens propres. Cette distinction, apparemment simple, peut se révéler complexe en pratique, notamment lorsque des biens ont été financés partiellement avec des fonds propres, ou lorsque des biens propres ont été améliorés avec des fonds communs.
Le régime de la séparation de biens, choisi par contrat de mariage, garantit l’autonomie patrimoniale de chaque conjoint. Chacun conserve la propriété et la gestion de ses biens, qu’ils aient été acquis avant ou pendant le mariage, ce qui constitue une protection notable en cas d’activité professionnelle à risque. Toutefois, même dans ce régime, des questions complexes peuvent se poser, notamment concernant les biens acquis conjointement (en indivision) ou les contributions respectives aux charges du mariage.
Le régime de la communauté universelle, plus rare et engageant, fusionne l’ensemble des patrimoines, sans distinction d’origine ou de date d’acquisition. Cela implique un partage total à parts égales, y compris pour les biens reçus par donation ou héritage, sauf si ces derniers ont fait l’objet d’une clause d’exclusion spécifique. Ce régime, souvent choisi pour sa simplicité apparente, peut générer des situations délicates en cas de divorce, particulièrement si l’un des époux a apporté significativement plus que l’autre.
Enfin, le régime de la participation aux acquêts fonctionne comme une séparation de biens pendant le mariage, mais prévoit au moment de la dissolution une compensation fondée sur l’enrichissement de chacun. Ce mécanisme hybride suppose une évaluation comparée du patrimoine initial et du patrimoine final de chaque époux, exercice technique qui nécessite souvent l’intervention d’experts-comptables ou d’évaluateurs spécialisés.
Chaque régime implique des règles spécifiques, tant dans l’évaluation que dans le partage des biens. L’accompagnement d’un avocat connaissant à la fois les règles patrimoniales et les dynamiques familiales permet d’appliquer ces textes avec justesse, en tenant compte de votre situation concrète et des enjeux humains et économiques qui en découlent. Ma double formation en droit des sociétés et en droit de la famille me permet d’appréhender avec précision ces interactions complexes.
La liquidation du régime matrimonial : enjeux et déroulement
La liquidation vise à établir de manière précise la masse des biens et des dettes à partager, en distinguant leur nature, leur origine et leur valeur actuelle. Cette opération peut intervenir dans plusieurs contextes : divorce, séparation de corps, changement de régime matrimonial ou décès de l’un des conjoints. Elle repose sur une analyse rigoureuse des flux patrimoniaux, souvent avec l’appui d’un notaire, notamment en présence de biens immobiliers ou d’éléments d’actifs professionnels.
Dans le cadre d’un divorce par consentement mutuel, la liquidation doit intervenir avant la signature de la convention de divorce. Le projet de liquidation, établi par un notaire ou par les avocats des parties, est une pièce obligatoire de la convention. Si les époux détiennent ensemble un bien immobilier, l’intervention d’un notaire est indispensable pour établir un état liquidatif ou, le cas échéant, une convention d’indivision si les parties souhaitent conserver le bien en commun. Cette étape préalable est cruciale : une liquidation mal préparée peut compromettre la validité même du divorce ou générer des contentieux ultérieurs.
En cas de divorce contentieux, la liquidation intervient généralement après le jugement de divorce, mais peut être anticipée dès l’ordonnance de non-conciliation. Le juge peut alors désigner un notaire pour établir un projet de liquidation. En l’absence d’accord dans l’année suivant le divorce, un procès-verbal de difficultés pourra être dressé pour ouvrir la voie à un partage judiciaire. Cette procédure, plus longue et coûteuse, implique une phase d’expertise judiciaire et des débats contradictoires devant le juge aux affaires familiales pour trancher les points de désaccord.
La temporalité, la méthode et les outils juridiques varient selon le régime, la complexité des biens à liquider et les éventuels conflits. En tant qu’avocat expérimenté en matière patrimoniale, je vous accompagne à chaque étape, en veillant à ce que vos droits soient respectés et vos intérêts préservés. J’interviens notamment avec l’appui du notaire pour :
Établir l’inventaire complet du patrimoine du couple
Déterminer la qualification juridique de chaque bien (propre, commun ou indivis)
Évaluer avec précision la valeur actuelle des actifs
Calculer les récompenses et créances entre époux
Négocier les modalités de partage avec l’avocat adverse
Rédiger ou examiner les projets d’actes liquidatifs
Vous représenter devant le notaire lors des opérations de liquidation
Défendre vos intérêts devant le juge en cas de désaccord persistant
Cette approche méthodique et exhaustive permet de sécuriser juridiquement la liquidation et de prévenir les risques de contestation ultérieure.
Récompenses, créances et équilibre des comptes entre époux
L’une des difficultés majeures dans la liquidation d’un régime matrimonial réside dans le calcul des récompenses et des créances. Il s’agit d’évaluer les flux financiers entre le patrimoine personnel d’un époux et le patrimoine commun, afin de rétablir les équilibres économiques lors du partage. Ces mécanismes juridiques, prévus par le Code civil, visent à éviter les enrichissements injustifiés de l’un au détriment de l’autre, ou de la communauté au détriment des patrimoines propres.
Par exemple, lorsqu’un époux a utilisé des fonds propres pour acquérir ou améliorer un bien commun (apport personnel pour l’achat du domicile conjugal, financement de travaux dans une résidence commune, remboursement d’un prêt immobilier avec des fonds hérités…), il peut prétendre à une récompense lors de la liquidation. À l’inverse, lorsque la communauté a financé des dépenses personnelles ou des dettes privées (remboursement de dettes antérieures au mariage, financement d’un bien propre, valorisation d’une entreprise appartenant à un seul époux…), elle peut revendiquer une créance.
Cette opération requiert une traçabilité fine des flux bancaires, une reconstitution historique des acquisitions et une application méthodique des règles du Code civil. Elle donne lieu à des contentieux fréquents, tant les enjeux peuvent être importants. La difficulté est souvent amplifiée par l’absence de comptabilité précise pendant le mariage, la perte de documents bancaires anciens, ou la confusion entre les différents patrimoines au fil des années.
Je vous aide à identifier les flux qui justifient l’existence d’une récompense ou d’une créance. Je vous accompagne pour rassembler les justificatifs nécessaires. Je vous soutiens pour faire valoir vos droits, que ce soit dans le cadre d’un partage amiable ou d’une procédure judiciaire. Mon expertise en la matière me permet d’établir des argumentaires solides, fondés sur la jurisprudence et la doctrine, pour défendre efficacement votre position. Dans les situations complexes, je peux également m’appuyer sur un réseau d’experts (comptables, évaluateurs, généalogistes bancaires) pour reconstituer avec précision l’historique des flux et leur imputation juridique.
L’objectif est d’assurer une répartition équitable du patrimoine, sans déséquilibre ni injustice, en veillant à ce que chaque contribution soit correctement évaluée et prise en compte dans le partage final.
Le domicile conjugal et les biens immobiliers
Le logement familial occupe une place centrale dans la vie du couple et cette importance se prolonge lors de la séparation, tant sur le plan affectif que financier. Même lorsqu’il s’agit d’un bien propre appartenant à un seul époux, aucune vente ne peut être conclue sans le consentement de l’autre époux pendant le mariage. Ceci est en vertu de la protection du logement familial prévue par le Code civil. Cette protection cesse avec le divorce définitif, mais les questions liées au sort du domicile conjugal restent souvent au cœur des négociations.
À la dissolution du régime matrimonial, plusieurs solutions s’offrent aux époux concernant les biens immobiliers qu’ils détiennent ensemble (en communauté ou en indivision) :
La vente du bien, avec partage du prix selon les droits de chacun, solution souvent privilégiée, mais qui peut se heurter à des contraintes de marché ou à des désaccords sur le prix.
Le rachat de la part de l’autre époux, qui suppose une capacité financière suffisante (apport personnel ou obtention d’un crédit) et une évaluation équitable de la valeur du bien.
Le maintien du bien en indivision par le biais d’une convention spécifique est une solution temporaire. Cette option peut être adaptée lorsque les enfants sont jeunes ou que le marché immobilier est défavorable. Cependant, elle nécessite une rédaction juridique précise pour éviter les conflits ultérieurs.
L’attribution préférentielle à l’un des époux, notamment celui qui exerce l’autorité parentale sur les enfants ou qui présente un intérêt légitime particulier, sous réserve d’une compensation financière pour l’autre.
Ces options doivent être envisagées en tenant compte de la situation familiale, des capacités financières de chacun, et des enjeux fiscaux. Lorsque des enfants sont en jeu, la question du logement prend une dimension supplémentaire, qui doit être intégrée à l’analyse juridique et patrimoniale. La situation peut être encore plus complexe en présence de plusieurs biens immobiliers ou de résidences situées à l’étranger, nécessitant une connaissance des règles de droit international privé.
Je vous accompagne dans le choix de la solution la plus adaptée à votre situation, et dans la rédaction des clauses permettant de sécuriser juridiquement votre projet immobilier. Mon approche combine la rigueur juridique nécessaire à la protection de vos intérêts et la créativité requise pour élaborer des solutions sur mesure, répondant à vos contraintes spécifiques et à vos objectifs personnels.
Donations, avantages matrimoniaux et incidences du divorce
Le divorce entraîne des effets juridiques immédiats sur les donations et les avantages matrimoniaux que les époux ont pu se consentir durant leur union. Ces mécanismes patrimoniaux, souvent prévus dans un esprit de protection mutuelle, voient leur portée modifiée par la rupture du lien conjugal, selon des règles précises qu’il convient de maîtriser pour éviter les surprises lors de la liquidation.
Les donations entre époux peuvent prendre diverses formes : donation de biens présents (un immeuble, des valeurs mobilières…), donation de biens à venir (comparable à un legs), donation-partage incluant les enfants communs, ou encore avantages insérés dans le contrat de mariage. Le principe général est que celles qui n’ont pas pris effet pendant le mariage sont révoquées de plein droit par le divorce, sauf volonté contraire exprimée par l’époux qui les a consenties. Cette révocation automatique concerne notamment les donations de biens à venir, qui sont anéanties sans qu’il soit nécessaire d’engager une action spécifique.
En revanche, les donations de biens présents ou les clauses ayant déjà produit leurs effets pendant le mariage demeurent valables et irrévocables, même après le divorce. Par exemple, si un époux a donné un bien immobilier à son conjoint plusieurs années avant la séparation, cette donation reste en principe intangible, sauf à démontrer l’existence d’une cause de révocation légale (ingratitude) ou conventionnelle (condition résolutoire).
Les avantages matrimoniaux méritent une attention particulière. Ces dispositions, insérées dans le contrat de mariage, peuvent modifier l’équilibre normal du régime matrimonial au profit de l’un des époux : clause de préciput permettant à un époux de prélever certains biens avant le partage, clause d’attribution intégrale de la communauté au survivant, clause de partage inégal… Le divorce entraîne généralement la caducité de ces avantages, qu’ils concernent des biens présents ou à venir, effaçant ainsi les déséquilibres initialement prévus en faveur de l’un des conjoints.
Cette distinction entre ce qui est révoqué et ce qui subsiste peut susciter des tensions si les époux n’avaient pas anticipé les conséquences du divorce sur leur contrat de mariage ou sur les dispositions prises entre eux. Il est donc indispensable de procéder à une lecture attentive des actes passés, et d’analyser leur validité à la lumière des textes en vigueur au moment de la liquidation.
En tant qu’avocat, je vous aide à comprendre vos droits et obligations issus de ces clauses, à évaluer les conséquences concrètes sur la liquidation du régime matrimonial, et à faire valoir vos arguments en cas de désaccord. Cette analyse approfondie permet d’éviter des renonciations préjudiciables ou des revendications excessives, en assurant une application équilibrée des règles juridiques à votre situation spécifique.
Situations complexes : entreprises, actifs internationaux et patrimoine professionnel
Certaines liquidations présentent des défis particuliers qui nécessitent une expertise renforcée et une approche sur mesure. C’est notamment le cas lorsque le patrimoine du couple comprend des éléments professionnels ou internationaux, dont le traitement juridique et fiscal requiert des compétences spécifiques.
La présence d’une entreprise familiale ou de parts sociales dans la communauté soulève des questions délicates : comment évaluer objectivement un fonds de commerce, des titres non cotés ou une clientèle professionnelle ? Comment organiser la continuation de l’activité tout en respectant les droits du conjoint non exploitant ? Quelles sont les implications fiscales du partage de ces actifs professionnels ? En tant qu’avocat spécialiste en droit des sociétés, j’apporte une expertise spécifique dans ce domaine, permettant d’articuler efficacement droit de la famille et droit des affaires.
Les actifs internationaux (biens immobiliers à l’étranger, comptes bancaires offshore, structures sociétaires multi-juridictionnelles) constituent un autre défi majeur. Leur liquidation implique la maîtrise des règles de conflit de lois, des conventions fiscales internationales, et parfois la coordination avec des experts juridiques locaux. La détermination du régime matrimonial applicable peut elle-même devenir un enjeu contentieux lorsque les époux ont résidé dans plusieurs pays ou possèdent différentes nationalités.
Les professions libérales et les dirigeants d’entreprise sont confrontés à des problématiques spécifiques, notamment concernant la valorisation de la clientèle, du cabinet ou des droits sociaux, ainsi que le traitement des comptes courants d’associés ou des distributions différées. Ces situations exigent une approche pluridisciplinaire, combinant expertise juridique, financière et fiscale.
Je vous accompagne dans ces configurations complexes en élaborant des stratégies adaptées à la spécificité de votre patrimoine et de votre activité professionnelle. Mon réseau de partenaires experts (notaires spécialisés, évaluateurs d’entreprise, fiscalistes internationaux) me permet de vous offrir un service complet et coordonné, garantissant la sécurité juridique de votre liquidation patrimoniale, même dans les situations les plus atypiques ou sophistiquées.
Pourquoi me faire confiance pour la liquidation de votre régime matrimonial ?
Basée dans les Hauts-de-Seine (92), intervenant à Paris et dans toute la France, je suis avocat spécialiste en droit des sociétés avec une pratique approfondie en droit patrimonial. Je vous propose un accompagnement transversal qui prend en compte l’ensemble de vos enjeux juridiques, économiques et humains. Cette double compétence me permet d’intervenir efficacement dans les situations où se croisent vie privée et vie professionnelle, notamment lorsque le patrimoine commun comprend des biens professionnels, des sociétés civiles ou des actifs immobiliers complexes.
Mon approche se caractérise par une analyse rigoureuse de votre situation patrimoniale, une stratégie personnalisée adaptée à vos objectifs spécifiques, et une négociation déterminée pour défendre vos intérêts. Je m’engage à travailler à vos côtés avec écoute et transparence, en veillant à vous informer clairement des enjeux, des risques et des opportunités à chaque étape du processus.
En choisissant mes services, vous bénéficiez d’un accompagnement qui allie expertise technique et compréhension des dimensions humaines de la séparation. Je m’attache à trouver des solutions équilibrées qui préservent vos droits tout en évitant, lorsque c’est possible, l’escalade des conflits et les procédures judiciaires longues et coûteuses.
Contactez-moi pour vos démarches de liquidation matrimoniale
Basée dans les Hauts-de-Seine (92), j’interviens à Paris et dans toute la France. Je vous propose un appel découverte gratuit de 15 minutes. Cet appel nous permettra de faire le point sur votre situation patrimoniale. Nous pourrons également envisager une analyse des conséquences juridiques de votre séparation.
Cet échange nous permettra une première approche pour évaluer ensemble les enjeux, de clarifier les zones de blocage, et d’envisager dans un second temps les solutions les plus adaptées à votre cas, qu’elles soient amiables ou contentieuses. Prenez rendez-vous en ligne dès aujourd’hui pour bénéficier d’un accompagnement juridique structuré, humain et adapté à la complexité de votre situation patrimoniale.
Témoignages
Cabinet CANEVET Mariannick - Avocat & Médiateure, Spécialiste du Dirigeant d'Entreprise 13 avis Google Valentina Fayed2025-01-30Trustindex vérifie que la source originale de l'avis est Google. Maître Canevet a fait preuve de professionnalisme et compétence,qualité, écoute, humanité, transparence et réactivité. Elle étais toujours disponible pour répondre à mes questions et me soutenir !!! Un grand merci !!!!!! Cordialement Mme. Levkovic Valentina Laurence Diener2025-01-16Trustindex vérifie que la source originale de l'avis est Google. Nous remercions vivement Me Canevet pour ses conseils et ses explications claires qui ont permis la clôture d'un dossier compliqué lors d'une succession .Nous avons eu le plaisir et la chance de rencontrer Me Canevet , et sommes conscients du travail accompli. Bruno Pachiaudi2024-09-25Trustindex vérifie que la source originale de l'avis est Google. Malgré un dossier plus compliqué qu’attendu et des interlocuteur pas toujours facile à joindre et à convaincre, maitre Canevet n’a pas lâché la pression y compris pendant la pause estivale pour une résolution au plus vite et au mieux de nos intérêts. Elle nous a également proposé plusieurs solutions face a des difficultés juridiques rencontrées pendant l’evolution du dossier. Barbara Chapuis2024-07-24Trustindex vérifie que la source originale de l'avis est Google. Madame Canevet a répondu avec précisions à mes questions et m'a apporté un conseil judicieux et pertinent. MJ N2020-11-20Trustindex vérifie que la source originale de l'avis est Google. Avocate sérieuse, à l'écoute et réactive. J'ai recommandé à plusieurs reprises ce professionnel à mon réseau. Les retours sont toujours très positifs. Rémi Rondelet2019-02-05Trustindex vérifie que la source originale de l'avis est Google. Trouver un bon avocat des sociétés est difficile, mais avec une spécialisation en droit de la famille c'est encore plus dur. Depuis que j'ai eu la chance de travailler avec Maitre Canevet, je la recommande vivement et mes clients en sont toujours ravis. Disponible et spécialiste, elle fournit le juste conseil. Coté tarif, rien à redire! N'hésitez plus... Sébastien Bass2019-01-28Trustindex vérifie que la source originale de l'avis est Google. Mariannick est une experte dans les domaines du Droit des sociétés et du Droit de la famille. Très à l'écoute de ses clients, Mariannick n'a de cesse de rechercher le meilleur pour ses clients c'est à dire la réponse juste et adaptée aux besoins et contraintes exprimés. Je recommande Mariannick !